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C’EST LE MOMENT POUR DIRE A JÉSUS

1. Une rencontre personnelle avec Jésus.


J’invite chaque chrétien, en quelque lieu et situation où il se trouve, à renouveler aujourd’hui même sa rencontre personnelle avec Jésus-Christ, à prendre la décision de se laisser rencontrer par Lui, de le chercher chaque jour sans cesse.
Il n’y a pas de motif pour lequel quelqu’un puisse penser que cette invitation n’est pas pour lui, parce que « personne n’est exclu de la joie que nous apporte le Seigneur ».
Celui qui risque, le Seigneur ne le déçoit pas, et quand quelqu’un fait un petit pas vers Jésus, il découvre que celui-ci attendait déjà sa venue à bras ouverts.

2. C’est le moment pour dire à Jésus.


3. C’est le moment pour dire à Jésus :
« Seigneur, je me suis laissé tromper, de mille manières j’ai fui ton amour, cependant je suis ici une fois encore pour renouveler mon alliance avec toi. J’ai besoin de toi. Rachète-moi de nouveau Seigneur, accepte-moi encore une fois entre tes bras rédempteurs ». Cela nous fait tant de bien de revenir à lui quand nous nous sommes perdus !

3. À l’origine du fait d’être chrétien: la Rencontre.


«À l’origine du fait d’être chrétien il n’y a pas une décision morale ou une grande idée, mais la rencontre avec un événement, avec une Personne, qui donne à la vie un nouvel horizon et par là son orientation décisive».

4. Impossible de vivre sans le poumon de la prière.


262. Sans des moments prolongés d’adoration, de rencontre priante avec la Parole, de dialogue sincère avec le Seigneur, nous nous affaiblissons
à cause de la fatigue et des difficultés. L’Église ne peut vivre sans le poumon de la Prière. Il y a un risque que certains moments de prières se transforment en excuse pour ne pas se livrer à la mission.

5. Nous avons besoin de demander sa grâce


264. Nous avons besoin d’implorer chaque jour, de demander sa grâce pour qu’il ouvre notre cœur froid et qu’il secoue notre vie tiède et superficielle.
Qu’il est doux d’être devant un crucifix, ou à genoux devant le Saint-Sacrement, et être simplement sous son regard. La meilleure motivation pour se décider à communiquer l’Évangile est de le contempler avec amour. Il est urgent de retrouver un esprit contemplatif.

6. Le véritable missionnaire : Jésus marche avec lui, parle avec lui, respire avec lui, travaille avec lui.


264. La première motivation pour évangéliser est l’amour de Jésus que nous avons reçu, l’expérience d’être sauvés par lui qui nous pousse à l’aimer toujours plus.
266. On ne peut persévérer dans une évangélisation enthousiaste, si on n’est pas convaincu, qu’avoir connu Jésus n’est pas la même chose que de ne pas le connaître, que marcher avec lui n’est pas la même chose que de marcher à tâtons. Pouvoir l’écouter n’est pas la même chose qu’ignorer ce qu’il dit. Pouvoir le contempler, l’adorer, se reposer en lui, n’est pas la même chose que de ne pas pouvoir le faire. Nous savons bien qu’avec lui la vie devient beaucoup plus pleine et qu’avec lui, il est plus facile de trouver un sens à tout. C’est pourquoi nous évangélisons.
Le véritable missionnaire sait que Jésus marche avec lui, parle avec lui, respire avec lui, travaille avec lui.
Une personne qui n’est pas convaincue, enthousiaste, sûre, amoureuse, ne convainc personne.
278. La foi signifie aussi croire en lui, croire qu’il nous aime vraiment, qu’il est vivant.
Ne restons pas en marge de ce chemin de l’espérance vivante !

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